Muse en concert

Publié le par .........Alienator........

Muse

30/10 Toulouse (Zénith)

 31/10 Bordeaux (Patinoire Mériadeck)

 11/12 Lyon (Halle Tony Garnier)

 14 et 15/12 Paris (Bercy)

17/12 Nantes (Zénith)

 18/12 Lille (Zénith)

Petit rappel des faits :

Le groupe est créé en 1993 à Teignmouth, dans le Devon (Royaume-Uni), tout d'abord sous le nom de Gothic Plague, alors qu'ils ne sont âgés que de quinze ans. Malgré tous leurs efforts, ils ne parviennent pas à se faire connaître en dehors du Devon.

En 1996, ils participent à un concours intitulé Battle Of The Bands à Teignmouth, sous le nom Rocket baby dolls. Néanmoins, la plupart des groupes y participant jouent de la musique pop ou funk, reflet de la scène musicale locale du moment, mais, à la grande surprise du jeune groupe britannique, ils remportent le concours. En effet, selon Matthew Bellamy, leur groupe jouait très mal.

Selon Bellamy, « Nous sommes arrivés sur scène, le visage totalement maquillé, nous étions très agressifs, nous jouions violemment et avons tout cassé sur scène. Tout cela pour dire que nous étions motivés, que cette attitude et cette volonté ont beaucoup fait. Nous avons ainsi gagné. »

L'origine du nom Muse

Un jour, lors d'un cours d'arts plastiques, les trois jeunes musiciens font connaissance des neufs muses (les filles de Zeus et Mnémosyne dans la mythologie grecque). Ils recherchent sa signification dans le dictionnaire et c'est là que le groupe surnommé « Rocket Baby Dolls » passe à celui de « Muse ». Matthew Bellamy explique que le choix de ce nom était logique : il est facile a mémoriser, court, puissant...

Il fallait alors trouver un nom définitif pour le groupe. C’est « Muse » qui est retenu en raison des trois filles avec qui traînait Matthew au lycée. Elles avaient l’habitude de se réunir afin de s’essayer à la magie noire et Matthew les accompagnait à la guitare. Ce n’est pas un hasard si Matt se prit d’amitié pour ces filles. En effet, un soir, lorsqu’il avait neuf ans, il descendit au rez-de-chaussée de leur maison et découvrit ses parents et son frère autour d’une planche Ouija. Sa mère, au lieu de le renvoyer se coucher, l’invita à venir s’asseoir avec eux. Elle lui expliqua ce qu’ils étaient exactement en train de faire, le rassura, lui affirma qu’il n’avait aucune raison d’avoir peur. Matt, assez fier d’avoir pénétré le monde des adultes et d’avoir obtenu la confiance de ses parents, suivait sans crainte leur exemple : « J’allais à l’école et racontais à des gamins de 10 ans ce que je faisais, ils trouvaient ça effrayant et j’étais assez impressionné de faire quelque chose qui faisait peur aux autres et pas à moi. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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